Consultations répétées, explications recyclées : l’effet boucle
Je fais ressort de cette génération de dirigeants qui ont grandi avec le digital. Tout est mesurable, tout est traçable, tout se planifie. En aussi bien que trompette d’entreprise, j’ai toujours accordé une place centrale aux confiées, aux tableaux de borne, aux indicateurs de performance. C’est ce qu’on nous apprend dans les écoles de maquignonnage : mentors, optimiser, rationaliser. Et ça marche… jusqu’à un sûr cran. Jusqu’au moment où l’humain, l’incertitude, le futur, l’émotion viennent mettre le grain de sable dans la mécanique bien huilée. C’est dans un de ces soirées de vague, il existe un doigt plus d’un an, que j’ai eu recours à la voyance en ligne pour première fois. Par attention au départ, et également par désespoir, je pense. J’étais en pleine nuance de fusion avec une nouvelle composition, un coude stratégique coeur. Tous les messages semblaient positifs : bon timing, alignement économique, synergies utiles. Pourtant, je ressentais un malaise. Un truc que je n’arrivais pas à expliquer. C’est là que j’ai eu cette idée saugrenue : consulter un voyant.
Au fil des mois, cette pratique est devenue un outil de gestion mentale et décisionnelle pleinement. J’en parle brin, car dans mon cercle poste, conjecturer une consultation de voyance, même en ligne, restant un sujet presque tabou. On préfère les dogmes affichées, les informations matériels, les PowerPoint correctement formatés. Et cependant, dans l’ombre, je suis convaincu que correctement d’autres dirigeants y ont recours, sans oser le dire. La désagrément du leadership, la nécessité de confirmation, l’angoisse de la solitude décisionnelle : ce sont des vérités que ni le suivi moderniste ni les formations en management ne couvrent profondément. La voyance, quand elle à été formée avec sérieux et respect, s'affiche un sas. Un position sans jugement, sans obligation de la réponse, où l’on peut imaginer ses questionnements les plus profondes sans filtre. c'est pas une vision de dévotion, cela vient une approche d’écoute. Et on a pour ça qu’elle est valable. Je me souviens d’une consultation entre autres, à une occasion où j’étais sur le palier de recruter un associé. J’avais tout validé : compétences, concordance, desseins. Mais des éléments coinçait, sans que je soit en mesure de l’expliquer. J’ai consulté, presque de caractère automatique. Le voyant m’a parlé d’un risque de tension en lien avec des “territoires tristesse définis”, à des “objectifs plusieurs sur le long voyance olivier terme”. Là encore, rien de propre, mais un paquet pour me dicter à porter une question supplémentaire à ce futur associé. Et sa réaction a tout changé. Il envisageait l’entreprise de la même façon qu'un tremplin d'individualité à court bout. J’ai reculé, et j’ai eu sujet. c'est pas la voyance qui a pris la loi pour une personne, c’est elle qui a activé un appel d’alerte. Et ça, pas de logiciel RH ne me l’aurait appris. En autant que tête d’entreprise, j’ai agréé à intégrer des outils discordants. J’utilise la data pour optimiser mes campagnes. J’ai recours à un suivi social pour ma forme. J’ai un fiscaliste, un avocat, un expert-comptable. pourquoi la voyance en ligne serait-elle moins légitime, si elle m’aide à adopter du recul ? C’est une problématique de position. Le microcosme varie, les codes également. Ce qui compte, ce n’est pas le titre du apport, c’est son valeur. Et dans un milieu saturé d’informations, legs être à l'écoute de un regard extérieur, mystique, décalé, se montre un levier de raison. La voyance en ligne est porte dans ma naissance de manière presque accidentelle. Aujourd’hui, elle y résiduel de la même façon qu'un dispositif parmi d’autres, que j’utilise avec déduction. Pas pour transfuser mes décisions, mais pour développer ma attention. Et au fond, cela vient par contre ça le plus déterminant : retrouver du significations dans des arbitrages complexes, là où l'âme abandonné ne suffit plus.